9 avril 2017
Lin qui rit, lin qui pleure
J'ai aimé savoir quelle main avait tissé chaque fil de la toile sur laquelle je brodais.
J'ai aimé ces lins fins et précis qui accueillaient le plumetis avec autant de bonheur que le point compté.
J'ai aimé ces kelsch qui passaient si bien à table et embellissaient à chaque lessive.
Et je n'ai pas fini de les aimer... Et ils n'ont pas fini d'être aimés car ils sont de la race de ceux qui traversent le temps et qu'on caressera encore dans dix générations. Merci Michel Gander.
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