Lumière de décembre
En ces jours proches du solstice d'hiver, si courts et qui semblent pourtant ne pas avoir de fin, il y a mille manière d'amener dans nos maisons la lumière qui nous manque cruellement à l'extérieur. C'est le moment de semer des lampes partout, partout, partout.
De la difficulté de trouver des carcasses d'abat-jour selon ses voeux... Ça fait longtemps que je n'avais pas eu à chercher dans ce domaine, mais j'avoue que j'ai été surprise par l'indigence des propositions dans les magasins consacrés aux loisirs créatifs. Qu'à cela ne tienne, j'ai trouvé mon bonheur en ligne avec la satisfaction supplémentaire de pouvoir acheter de la fabrication locale.
Très locale même pour moi puisque la boutique en ligne Ma deco' en fil est adossée à un atelier bourguignon situé dans la Nièvre. Je précise qu'il s'agit bien sûr d'un avis indépendant car je ne les connais pas, ils ne me connaissent pas : j'ai été ravie de ce premier achat. Mon seul regret est qu'il ne soit pas possible de voir les abat-jour avant d'acheter, sinon j'aurais été tentée de me rendre sur place pour peut-être me lancer dans leurs formes plus originales.
Ça fait longtemps que je n'avais pas monté d'abat-jour, je m'en suis donc tenue à une carcasse rectangulaire très facile à habiller. L'opération a été d'autant plus aisée que le positionnement du monogramme sur la toile m'interdisait de couper mon polyphane en une seule pièce. J'ai simplement eu à préparer quatre pans séparés que j'ai reliés avec une tresse ancienne blanche toute sobre et bien discrète.
J'ai des abat-jour fatigués à rhabiller de neuf, de blanc, d'immaculé ; heureusement, j'ai du stock de monogrammes particulièrement adaptés à la situation.
Je vais probablement refaire quelques abat-jour ronds. Dans mes souvenirs, c'est toujours intimidant au moment de passer à la mise en forme et de forcer le polyphane autour de la carcasse mais finalement, c'est toujours réussi !
Pour finir... Ce n'est pas parce que je suis revenue de mes infidélités généalogiques, après le marathon d'écriture du mois de novembre, que je ne vais pas vous partager ici les deux derniers billets publiés sur Passerelle dans le cadre du ChallengeAZ 2021. D'ailleurs le premier vous intéressera peut-être au plus haut point puisqu'il y est question de cuisine et d'un plat emblématique de la Louisiane... avec ses recettes, s'il vous plait ! Et le second clôt le défi par un épilogue en forme de bilan et aussi de relance : en généalogie, on n'a jamais fini.
Je réfléchis déjà à l'année prochaine... avec un thème qui conciliera peut-être tous mes univers ;-)
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